Les vertus médicinales du miel
La première référence écrite sur le miel, une écriture sumérienne sur tablette, datant de (2100-2000 av. J.-C.), mentionne l'utilisation du miel comme drogue et comme onguent. Aristote (384-322 av. J.-C.), en discutant les différents miels, a fait référence de miel pâle comme étant "bon comme un apaisement pour les yeux douloureux et les blessures".
Il a été rapporté que le miel de Manuka présente une activité antimicrobienne contre les bactéries pathogènes telles que Staphylococcus aureus (S. aureus) et Helicobacter pylori (H. pylori), ce qui fait de ce miel un aliment fonctionnel prometteur pour le traitement des blessures ou des ulcères d'estomac. Le miel est utilisé depuis l'Antiquité comme remède pour accélérer la cicatrisation des plaies, et le potentiel du miel pour aider à la cicatrisation des plaies a été démontré à plusieurs reprises. Le miel est de plus en plus accepté comme agent pour le traitement des ulcères, des escarres et autres infections cutanées résultant de brûlures et de plaies.
Les propriétés curatives du miel peuvent être attribuées au fait qu'il offre une activité antibactérienne, maintient un environnement humide pour les plaies ce qui favorise la cicatrisation, et possède une viscosité élevée qui contribue à fournir une barrière protectrice pour prévenir l'infection.
Il existe de nombreux rapports indiquant que le miel est très efficace pour panser les blessures, les brûlures, les ulcères cutanés et les inflammations ; les propriétés antibactériennes du miel accélèrent la croissance de nouveaux tissus pour cicatriser la blessure. Il a été démontré que le miel de médihoney et le miel de manuka ont une activité in vivo et conviennent pour le traitement des ulcères, des plaies infectées et des brûlures.
Le miel, lorsqu'il est appliqué topiquement, élimine rapidement l'infection de la plaie et facilite la cicatrisation des plaies chirurgicales profondes infectées. L'application de miel peut favoriser la cicatrisation des plaies infectées qui ne répondent pas à la thérapie conventionnelle, c'est-à-dire aux antibiotiques et aux antiseptiques, y compris les plaies infectées par le S. aureus résistant à la méthicilline. En outre, il peut être utilisé sans problèmes dans le cas de greffes de peau et sur les sites de prélèvement de greffons.
Le manuka, la gelée de buisson et les miels de pâturage sont capables de stimuler les monocytes, précurseurs des macrophages, à sécréter du TNF. D'autre part, les protéines glycosylées peuvent induire la sécrétion de TNF par les macrophages, cette cytokine est connue pour induire le mécanisme de réparation des plaies. De plus, la capacité du miel à réduire la "libération d'intermédiaires réactifs" pourrait bien limiter les dommages tissulaires causés par les macrophages activés pendant la cicatrisation. Ainsi, la propriété immunomodulatrice du miel est pertinente pour la réparation des plaies.
L'utilisation du miel comme traitement des ulcères gastro-duodénaux et de la gastrite est soutenue par le folklore traditionnel ainsi que par des rapports des temps modernes.
Le miel peut favoriser la réparation des muqueuses intestinales endommagées, stimuler la croissance de nouveaux tissus et agir comme un agent anti-inflammatoire.
Le miel cru contient de grandes quantités de composés tels que des flavonoïdes et d'autres polyphénols qui peuvent fonctionner comme des antioxydants.
Des observations cliniques ont fait état d'une réduction des symptômes d'inflammation lorsque le miel est appliqué sur les plaies. L'élimination de l'exsudat dans les plaies habillées de miel est utile pour gérer les plaies enflammées.
Les vertus médicinales du miel
La première référence écrite sur le miel, une écriture sumérienne sur tablette, datant de (2100-2000 av. J.-C.), mentionne l'utilisation du miel comme drogue et comme onguent. Aristote (384-322 av. J.-C.), en discutant les différents miels, a fait référence de miel pâle comme étant "bon comme un apaisement pour les yeux douloureux et les blessures".
Il a été rapporté que le miel de Manuka présente une activité antimicrobienne contre les bactéries pathogènes telles que Staphylococcus aureus (S. aureus) et Helicobacter pylori (H. pylori), ce qui fait de ce miel un aliment fonctionnel prometteur pour le traitement des blessures ou des ulcères d'estomac. Le miel est utilisé depuis l'Antiquité comme remède pour accélérer la cicatrisation des plaies, et le potentiel du miel pour aider à la cicatrisation des plaies a été démontré à plusieurs reprises. Le miel est de plus en plus accepté comme agent pour le traitement des ulcères, des escarres et autres infections cutanées résultant de brûlures et de plaies.
Les propriétés curatives du miel peuvent être attribuées au fait qu'il offre une activité antibactérienne, maintient un environnement humide pour les plaies ce qui favorise la cicatrisation, et possède une viscosité élevée qui contribue à fournir une barrière protectrice pour prévenir l'infection.
Il existe de nombreux rapports indiquant que le miel est très efficace pour panser les blessures, les brûlures, les ulcères cutanés et les inflammations ; les propriétés antibactériennes du miel accélèrent la croissance de nouveaux tissus pour cicatriser la blessure. Il a été démontré que le miel de médihoney et le miel de manuka ont une activité in vivo et conviennent pour le traitement des ulcères, des plaies infectées et des brûlures.
Le miel, lorsqu'il est appliqué topiquement, élimine rapidement l'infection de la plaie et facilite la cicatrisation des plaies chirurgicales profondes infectées. L'application de miel peut favoriser la cicatrisation des plaies infectées qui ne répondent pas à la thérapie conventionnelle, c'est-à-dire aux antibiotiques et aux antiseptiques, y compris les plaies infectées par le S. aureus résistant à la méthicilline. En outre, il peut être utilisé sans problèmes dans le cas de greffes de peau et sur les sites de prélèvement de greffons.
Le manuka, la gelée de buisson et les miels de pâturage sont capables de stimuler les monocytes, précurseurs des macrophages, à sécréter du TNF. D'autre part, les protéines glycosylées peuvent induire la sécrétion de TNF par les macrophages, cette cytokine est connue pour induire le mécanisme de réparation des plaies. De plus, la capacité du miel à réduire la "libération d'intermédiaires réactifs" pourrait bien limiter les dommages tissulaires causés par les macrophages activés pendant la cicatrisation. Ainsi, la propriété immunomodulatrice du miel est pertinente pour la réparation des plaies.
L'utilisation du miel comme traitement des ulcères gastro-duodénaux et de la gastrite est soutenue par le folklore traditionnel ainsi que par des rapports des temps modernes.
Le miel peut favoriser la réparation des muqueuses intestinales endommagées, stimuler la croissance de nouveaux tissus et agir comme un agent anti-inflammatoire.
Le miel cru contient de grandes quantités de composés tels que des flavonoïdes et d'autres polyphénols qui peuvent fonctionner comme des antioxydants.
Des observations cliniques ont fait état d'une réduction des symptômes d'inflammation lorsque le miel est appliqué sur les plaies. L'élimination de l'exsudat dans les plaies habillées de miel est utile pour gérer les plaies enflammées.
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